11/11/2006

"Disintermediation/ Reintermediation"

"Disintermediation is one of the other themes, a really powerful one. And it's flip-side, reintermediation. Well, disintermediation of course is when information becomes bits, everything in the middle can go away. But it turns out that the reintermediation opportunities, that is, the opportunities to create new value between consumers and producers based on the Net, these opportunities are greater than the disintermediation dangers."



En 1999, dans cet article, D.Tapscott évoque 12 thèmes concernant la "nouvelle économie"( voir l'article complet en cliquant sur le titre).

Il s'agit ici d'un paragraphe qui a servi de départ à mon projet, et qui m'a définitivement influencé dans mon choix de parler de petites entreprises plutôt que de géants dans l'environement digital. Voici avec plus ou mois de précision la traduction du paragraphe:

"La désintermédiation est l'un des autres thèmes, un thème très puissant. Ainsi que son inverse la "reintermédiation". La désintermédiation c'est bien sûr, quand l'information se résume à des "bits", tout ce qui se trouve au milieu n'a pas lieu d'être. Mais il s'avère que les opportunités de réintermediation, c'est à dire les opportunités de créer une nouvelle valeur ajoutée entre les consomateurs et les producteurs sur le net, ces opportunités sont plus fortes que les dangers de la désintermédiation."

Il est vrai qu'environ 6 ans plus tard on peut constater que de nombreux intermédiares ont disparu dans le domaine de la distribution photo, qu'ils soient grossistes, revendeurs ou même parfois des filiales nationales de grandes marques (ex: Pentax France).

Les opportunitées de réintermédiation évoquées par D.TAPSCOTT sont évidement bien réelles. Chaque acteur intermédiare du marché doit s'interroger sur sa contribution à la valeur ajoutée, celle perçue par le consomateur final dans le produit ou le service acheté. Et il semblerait aujourd'hui que le client, bien plus que les produits ou services, doit être au centre de tous les interêts.

Internet permet de personnaliser chaque transaction en temps réel, il n'y qu'à réserver un billet de train pour s'en persuader; tout est paramétrable, horaires, destination, place couloirs ou fenêtres, services à l'arrivée (location auto, réservation hotel), et par dessus tout le client peut choisir son tarif. Mais le plus spectaculaire dans tout ça, c'est qu'au moment de la confirmation du paiement la société des wagons lits semble savoir exactement quelle quantité de plats elle doit embarquer.*

A suivre

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2 Comments:

At dimanche 12 novembre 2006 à 11:00:00 UTC, Blogger Andrew Walker said...

This is the first time I've come across a blog to support an MBA thesis - what a creative and interesting idea. There is currently allot of interest by corporations in the dynamics of blogging for sharing knowledge and getting higher participation rates in online information exchange by employees. This is partly because email and corporate intranets have incrased the QUANTITY of information in organisations without any improvement in QUALITY - and many corporate intranets lack the required levels of participation by employees to gain criticalmass and be effective. Reserach is currently going on at Grenoble Ecole de management of corporate blogging as a potential platform for knowledge and information sharing by employees. Good luck Stephane with this project blog and lets hope we can develop some good practice with it - perhaps all MBA projects will have project blogs in the future.

 
At dimanche 12 novembre 2006 à 11:06:00 UTC, Blogger Andrew Walker said...

I'm still thinking about the issues of using a corporate blog as part of the research process. Hope you flag up the pros and cons in your paper.
Clearly blogging is part of the wider set of prnciples, practice and hype that make up the Web 2.0 paradigm - something that has been a contributing factor to the problems experienced on the photographic sector - notably with classic Web 2.0 sites like www.flickr.com - this site, along with a digital camera, means that I no longer buy camera film, get prints developed, or visit a physical photoshop. In this case the disintermediation has come from consumer prosumption (see Tapscott) rather than a specific third party reintermediary. It seems to me that Web 2.0 is part of the issues for the project to address in relation to this sector, which has been effected so profoundly by it.

 

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